Un Opéra Rock présenté en live sous forme de spectacle participatif ou théâtre, danse, fête et humour ne font qu’un.
Un opéra rock écrit, composé, interprété et mis en scène par Maxime Honhon.
Dans un paysage musical formaté, Maxime Honhon signe avec Bienvenue chez moi,
un opéra rock 100 % surréaliste, forcément barré et résolument festif. Un spectacle
foufou et coloré dans l’esprit du légendaire Le Grand Orchestre du Splendid.
Impossible de ne pas citer aussi le cultissime The Rocky Horror Picture Show pour le
côté participatif du public, tantôt invité à pousser des cris de mouettes ou à célébrer
le culte d’Ador, personnage principal de l’histoire.
Saluons comme il se doit ce “Bienvenue chez moi”, teinté de second degré où la
danse, la fête et l’humour ne font qu’un dans une ambiance bien zinzin.
Cet hymne à l’hédonisme qu’est “Bienvenue chez moi” épouse la forme d’un opéra
rock en 12 chapitres annoncés en grande pompe par un prêtre futuriste lors d’une
cérémonie joliment décalée. L’histoire de “Bienvenue chez moi” commence le soir où
Ador organise une pré-soirée. Il rencontre Le Poney, qui ressemble pourtant très fort
à une licorne, avec qui il se noue d’amitié. Contre toute attente, cette soirée
l’emmènera jusqu’au bout du monde entre îles paradisiaques, boîte de nuit et pizzeria.
« Ador est le dernier héritier d’une longue dynastie de Grands Ducs » raconte
Maxime Honhon. Dans la solitude de son immense château, en Seigneur émérite et
généreux, il organise quotidiennement de grandioses soirées. Son train de vie à la
Gasby lui vaut le surnom de King de la nuit.
“Bienvenue chez moi” est emmené par un maître de cérémonie qui voit notre King de
la nuit, chantre de l’autodérision, entouré d’un Big band rutilant et groovy et d’une
troupe de danseuses du Paris des années folles. “Bienvenue chez moi” rencontre son
public, le fait participer, chanter et danser lors d’un spectacle XXL ancré dans un
esprit belge sans prétention, mais qui s’autoproclame meilleur opéra rock de tous les
temps.