Bienvenue chez moi

(L'Opéra Rock)

L'histoire d'Ador,
Le King de la nuit

Bienvenue chez moi : un opéra rock surréaliste et festif

"Bienvenue chez moi", la comédie musicale


Dans un paysage musical formaté, Ador signe avec "Bienvenue chez moi", un opéra 100 % surréaliste, barré et résolument festif. Un spectacle foufou et coloré dans l’esprit du légendaire Le Grand Orchestre du Splendid. Impossible aussi de ne pas citer le cultissime The Rocky Horror Picture Show pour le côté participatif du public, tantôt invité à pousser des cris de mouettes ou à célébrer le culte d’Ador.

Saluons comme il se doit "Bienvenue chez moi", comédie musicale tout public, teintée de second degré où la danse, la fête et l’humour ne font qu’un. Cet hymne à l’hédonisme se construit en 12 chapitres annoncés en grande pompe par un prêtre futuriste.

L'Histoire de "Bienvenue chez moi"


Ador est le dernier héritier d’une longue dynastie de grands ducs. Dans la solitude de son immense château, en seigneur émérite et généreux, il organise quotidiennement de grandioses soirées. Son train de vie à la Gatsby lui vaut le surnom de King de la nuit.

L’histoire de "Bienvenue chez moi" commence le soir où Ador organise une pré-soirée. Il rencontre Le Poney, qui ressemble pourtant fort à une licorne, avec qui il se noue d’amitié. Contre toute attente, cette soirée l’emmènera jusqu’au bout du monde entre îles paradisiaques, boîte de nuit et pizzeria.

"Bienvenue chez moi" est mené par un maître de cérémonie qui voit notre King de la nuit, chantre de l’autodérision, entouré d’un Big band rutilant et groovy et d’une troupe de danseuses du Paris des années folles. Ador rencontre son public, le fait participer, chanter et danser lors d’un spectacle XXL ancré dans un esprit belge sans prétention, mais qui s’autoproclame meilleur opéra rock de tous les temps.